Germain Anouilh

Jean-Bernard ALQUIER 

Alias

 Germain Anouilh 

Né à COLOUMNATA en 1951. Dans la lignée du docteur Constantin ALQUIER, peintre voyageur depuis 1965, imprégné par la culture romaine et arabo-berbère. 

Il entre au collège de Miliana, Algérie, en 1961. Arrivé en France à l’âge de 11 ans, après l’indépendance d’Algérie, il fait son entrée au collège de CONDOM dans le Gers. Il y découvre l’amour de l’art. 

Arrivé à Bordeaux en septembre 1970, il poursuit ses études de médecine et en 1975, fait son stage en cardiologie à l’hôpital de Bologne (Ospedale Maggiore) où il découvre l’esthétique et les couleurs de l’Emilie Romagne. Il y rencontre des peintres modernes. 

A Saint Germain en Laye, en 1975, au salon des artistes Mansonniens, il fait la connaissance de Jean-Marie CUSINBERCHE.  En 1976, il visite les musées londoniens. Séjourne un mois à CRACOVIE. Puis réintègre son poste d’interne puis assistant en cardiologie à Libourne où il restera jusqu’en 1981. 

En 1977, il visite les musées et galeries d’art contemporain Lelong à Paris. Il y rencontre Christian GRISONI et découvre la centaine d’œuvres de MATHIEU 

Basé à BORDEAUX il sera présent dès l’ouverture de l’hôpital cardiologique, le 1 er avril 1978. Il exercera ensuite à Pointe à Pitre ; il visite et procure des soins au dernier village des indiens Caraïbes à l’ile de la DOMINIQUE. C’est aussi la rencontre avec Monsieur SCHWARZ-BART (prix Goncourt de littérature). 

Il acquière une collection de tableaux de peintres bordelais connus, dont Paul LEUQUET et Louis TEYSSANDIER 

En 1982, il retourne en Algérie où il découvre la villa Abd-el-Tif sur les traces de Marius de BUZON et d’Augustin FERRANDO. 

En 1985 à Vincennes, il rencontre Gilles NAJA et Henri ENU et découvre l’art africain. 

Toujours passionné par son métier de médecin cardiologue et de la culture humaniste héritée du docteur Constantin Alquier, il gère le stress lié à ses responsabilités en s’évadant la nuit, et plus précisément en rêvant d’expression picturale triomphale. C’est d’après lui, le Karma de sa vie. 

En 1992, à 41 ans il est admis à un salon porte de Champerret avec Henri ENU et Louis Loustalot dit « le petit résistant ». Il montre une de ses toiles à H. ENU en présence de Louis qui l’encourage et l’invite dans sa galerie pour lui présenter des amis peintres. 

De retour à Bordeaux, il est pris d’une frénésie de peinture. Louis LOUSTALOT visite souvent ses parents à Pessac d’où leurs fréquentes rencontres suivies de son entrée dans le groupe surmoderniste de ce dernier. 

En 2001, Jean-Bernard achète à Bordeaux la maison de 2 sœurs peintres belges avec salon de peinture, tandis que Louis achète une ferme à Mérignac. Ils se motivent à peindre et Louis lui présente ses amis Didier JOUVIN et Lili POUL dite Lili P. ainsi que plusieurs peintres bordelais. Il héberge Paul LEUQUET, artiste peintre et graveur pour redémarrer son activité dans son garage-atelier et son jardin le poussant à travailler dans son expression personnelle. 

En 2011, il divorce mais poursuit frénétiquement son activité de peintre. Celleci est de plus en plus un refuge et Louis LOUSTALOT, son ami de toujours, le fait entrer dans des collections privées et dans sa collection personnelle tandis que Lili P. l’encourage. 

Début 2023, il expose ses œuvres au restaurant « Centre B » à Eysines. Puis à l’hôtel Continental de Condom sous le nom de Germain ANOUILH (alias JeanBernard ALQUIER). Le thème de cette exposition : « Vagabondage en couleurs ». On vient admirer les œuvres d’un peintre autodidacte, telle une révélation insoupçonnée qui va le mener sur le chemin de la création aux effluves d’émotions. Sur les murs du Continental, c’est un panorama multiculturel, et la bonté y rejoint la passion et l’amitié 

Germain ANOUILH est un créateur prolifique, son talent artistique se devine à travers la qualité des traits. Au cours du vernissage, le succès était au rendezvous mais il insiste : 148 149 - « Je veux créer un rendez-vous de l’amitié », et la main sur le cœur : - « transmettre ma passion en toute humilité ». Autre exposition : au Château de CASSAIGNE des Évêques de CONDOM.